Attention !
Prendre un avion à destination du soleil paraît simple et peu coûteux.
Les vols à destination du Maroc sont nombreux et le touriste pense profiter d’avantages en achetant un billet Transavia ou Rayan air par exemple.
Un constat pourtant édifiant pour la compagnie Transavia qui s’aligne sur les autres compagnies beaucoup moins prestigieuses. Transavia est le low cost d’Air France. Le billet varie entre 60 et 70 euros avec un bagage cabine au poids de 10kilos.
Et le siège à zéro euros n’existe plus. Il faut ajouter au moins 7 euros et plus du double si on veut voyager devant.
Surprise !
La surprise est que l’enregistrement se fait souvent par des machines, aidé d’un agent qui pèse le bagage et vous laisse aller à l’embarquement sans autre contrôle.
Le bagage de plus de 10 kilos part en soute.
La surprise vient au moment de l’embarquement quand on vous oblige à entrer votre bagage dans un espèce d’étui pour vérifier sa dimension. Ce qui signifie que les valises doivent toutes avoir un aspect rectangulaire et tout autre forme de bagages ne passe pas. Imaginons une valise qui n’entre pas non pas parce qu’elle est grande mais d’aspect différent ! C’est là que les embêtements commencent !
Le bagage e considéré comme non conforme et au lieu de se voir proposer un envoi en soute on vous fait payer un supplément de 60 euros. Si vous refusez de payer vous n’embarquez pas. w
Passager ou consommateur ?
Ce qui signifie que le voyageur et donc le consommateur n’est absolument pas respecté en tant que tel.
Il est pris dans un engrenage de supplémentw et les économies qu’il pensait avoir fait se transforment en dépenses supplémentaires.
Les réclamations sont toujours possibles. Mais les compagnies low cost considèrent leurs voyageurs non comme des clients à respecter mais comme un moyen de faire des bénéfices en abusant de plus en plus de ceux-ci.
Le manque de personnel
Car le manque de personnel à l’enregistrement des bagages laisse la porte ouverte à cette possibilité pour Transavia de contrôler au moment de l’embarquement les passagers en les taxant sans cesse.
Ce changement de cap de cette compagnie laisse prédire une chute dans ses fréquentations si on la compare à l’historique par exemple de Rayan Air qui bénéficiait, à sa création, de la confiance de ses clients et qui l’a perdu pour les mêmes raisons. Car si le billet de Rayan Air est abordable ce sont les bagages qui sont surtaxés.
Pratiques douteuses ?
Les pratiques douteuses de ces compagnies se font au détriment d’une fidélisation des clients. Le nombre de vol, avec des fréquences de départs de moins en moins espacés entre les allers-retours, les comportements du personnel, sont des marques de surexploitation et des équipes et des consommateurs.
R.B.E
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